Impact environnemental

ET LA NATURE
DANS TOUT CA ??

Certifications FSC et PEFC

Ethique et environnement

Nous aimons notre métier et cela implique le respect et la valorisation des matériaux utilisés...

Forts d'une réelle expérience dans les différentes compétences requises dans le travail du bois (qui est, rappelons-le, un matériau noble et vivant), nous sommes engagés à respecter scrupuleusement les normes en vigueur  en matière de production / traitement et revalorisation.

Benefici ambientali del legno

Se i fabbisogni energetici per la lavorazione con il legno sono relativamente inferiori rispetto a quelli con altri materiali, è da un lato perché è un materiale virtuoso. Il legno, infatti, a differenza dei combustibili fossili, è una materia prima rinnovabile. Forse non lo sai, ma il legno è in grado di rigenerarsi in meno di cento anni. Inoltre, è una risorsa abbondante, disponibile localmente e certificata grazie a etichette come PEFC e FSC.

Va poi sottolineato che il legno è un materiale a basso impatto dovuto al suo peso ridotto grazie al quale è possibile ottimizzare l'energia utilizzata per la sua trasformazione. È anche un materiale secco che aiuta a ridurre lo spreco d'acqua nei cantieri. La sua bassa conducibilità termica permette inoltre di realizzare interessanti risparmi energetici.

Infine, aggiungiamo che il legno è un materiale riciclabile. Pertanto, il suo recupero o riciclaggio può essere effettuato senza danni per l'ambiente. E questo a differenza di altri materiali da costruzione ordinari. Ad esempio, gli scarti di segheria che sono stati trattati per l'ambiente possono essere riutilizzati nell'industria della carta e dei pannelli. Oltre a questi vantaggi, il legno è l'unico materiale il cui utilizzo è vantaggioso nella lotta ai gas serra (GHG), poiché è un ottimo "carbonivoro". Ad esempio, in edilizia, il legno è in grado di conservare tutte le sue scorte di CO2 fino a 1 ton/m3.

Deforestazione: un effetto sopravvalutato
Abbiamo appena visto i principali vantaggi ambientali derivanti dall'utilizzo del legno. A questo proposito, va notato che quasi 2,8 miliardi di terrestri utilizzano questo materiale principalmente sotto forma di legno o carbone. Di conseguenza, è spesso considerata, in parte, la causa della deforestazione e delle emissioni di gas serra. Questo non è il caso, poiché gli studi hanno dimostrato che questo uso non supera le capacità della foresta.

Alla Yale University nel Connecticut, i ricercatori hanno dimostrato che solo il 27-34% della raccolta del legno potrebbe causare un'eccessiva capacità della foresta. Tuttavia, secondo lo stesso studio, in alcune regioni come la Cina o l'India, le foreste vengono ancora ripiantate. Ciò contraddice l'affermazione secondo cui il combustibile legnoso (circa il 55% del legno abbattuto nel mondo) è un fattore importante nella deforestazione e nel cambiamento climatico. Infine, per quanto riguarda le emissioni globali di GHG, i calcoli di questi ricercatori mostrano che il legno è la fonte solo dall'1,9% al 2,3% di dette emissioni.
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Quelques éclaircissements par un professionnel de la construction :


Intervista a Dominique Gauzin-Müller, specialista in architettura ecologica.

Si parla sempre più di architettura ecologica. Che ruolo ha il legno in esso?

Il legno è l'unico materiale da costruzione rinnovabile. Il suo utilizzo nella struttura, nel layout e nel rivestimento è quindi un mezzo per preservare le riserve di altre materie prime utilizzate nell'edificio. La trasformazione del legno mobilita poca materia ed energia e l'inquinamento di acqua, aria e suolo è molto basso.

La leggerezza del legno facilita l'installazione senza grandi macchinari, limitando rumore e polvere durante il cantiere. Un design che tenga conto delle dimensioni di fabbricazione consente di ridurre gli sprechi, e quindi il volume dei rifiuti. Questi possono essere riciclati, bruciati per produrre energia o degradati biologicamente.

Quindi i vantaggi del legno sono solo ambientali?
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Dominique Gauzin-Müller
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Un isolant exceptionnel
Le bois est un matériau chaleureux... Dans tous les sens du terme !
C'est en effet un excellent isolant (il possède une très faible conductivité thermique) : le bois isole 6 fois plus que la brique, 12 fois plus que le béton, 350 fois plus que l'acier et 1 500 fois plus que l'aluminium !

Au delà des qualités intrinsèques du matériau, les systèmes constructifs bois sont très performants en termes d'isolation. L'ossature bois, en particulier, permet l'insertion d'un isolant thermique (laine de verre, par exemple) au coeur même des murs. Résultat : épaisseur minimale, isolation maximale.

Quels sont les avantages du bois dans la construction ?
Il y a cinq ans à peine, seuls les vrais amoureux du bois optaient pour ce matériau, ou ceux qui voulaient un foyer différent, original. Aujourd'hui, le bois ne demeure plus l'apanage d'une élite. La clientèle s'étoffe, car ce matériau devient une vraie solution aux yeux de tous ! Le premier argument est écologique : les chantiers de construction en bois consomment très peu d'énergies fossiles.

En outre, ils ne nécessitent pas d'eau. Propres, ils ne génèrent pas de déchets.

Côté esthétique, ce matériau permet quasiment toutes les fantaisies. Autre avantage, il peut être usiné industriellement en atelier et les éléments structurels assemblés directement sur le chantier. D'où des travaux plus rapides, et moins onéreux, que pour une construction dite "classique".

Peut-on choisir le bois pour construire une maison bioclimatique ?
Le bois se révèle même idéal pour ce type de construction ! En premier lieu, il possède naturellement des propriétés isolantes : parfait pour ce que l'on appelle l'enveloppe de la construction. En outre, les constructions en bois sont exemptes de ponts thermiques. C'est à dire, qu'elles ne présentent aucune faille d'isolation.
Interview de Jean-Marie Barbier, Directeur général de la Fédération des Forestiers Privés de France

La modification de la carte des essences est-elle déjà visible dans nos forêts françaises ?
Non, les modifications sont plutôt visibles sur les forêts qui souffrent, c'est-à-dire dans les régions menacées et subissant des dépérissements. L'épisode de sécheresse de 2003, par exemple, a fragilisé certaines essences comme le hêtre, le chêne pédonculé ou l'épicéa.

Le réchauffement climatique est-il, seul, responsable des changements prévisibles de la carte forestière française ?
On ne peut pas dire cela. Les effets de sécheresse et de déficit hydrique sont des phénomènes aggravants. Mais l'arbre réagit sur le long terme. Les dépérissements liés à la sécheresse de 2003 ne font qu'alourdir les pertes d'épisodes précédents. Le patrimoine souffre encore des effets de la tempête de 1999. Outre les pertes exceptionnelles, de nombreux arbres ont été abîmés, leurs systèmes racinaires arrachés, réduisant considérablement leur vitalité.

Côté pollution, on parlait un temps de pluies acides, je pense que cela n'a rien à voir, sauf zones exceptionnelles, mais que, en revanche, les épisodes de 1976, 1999 et 2003 ont eu, quant à eux, de réels impacts.

La sécheresse et de déficit hydrique sont des phénomènes aggravants. Mais l'arbre réagit sur le long terme.

Quels sont les impacts du réchauffement climatique sur la gestion des forêts ?
On peut toujours faire des projections, mais cela reste de la fiction. Cependant se pose réellement la question des plantations d'aujourd'hui, qui seront mûres dans 100 ans, époque qui subira le réchauffement climatique de plein fouet

Pour le moment, on recherche les meilleures solutions à court, moyen et long terme. C'est pourquoi nous débattons sur des sujets comme la futaie régulière, dont le principe de régénération naturelle n'est à priori plus en phase avec la situation actuelle, et qui d'ici 50 à 100 ans va changer encore considérablement. Il faut se poser la question de la dynamique de la sylviculture.

Doit-ton cultiver du sapin ou du douglas ? A long ou court terme ? Le douglas à 40 ans nous permettra de "passer à travers les gouttes", autant pour des raisons économiques que climatiques. Malheureusement, on ne pourra peut être pas en dire autant avec des récoltes à 80-100 ans qui risquent de connaître des périodes de mortalité. 

C'est pour toutes ces raisons que je préconise des plantations à croissance rapide afin que l'on puisse les mener à bien et que les récoltes soit commercialisables.

Jean-Marie Barbier, Directeur général de la Fédération des Forestiers Privés de France
Initialement diplômé de l'Institut National Agronomique et spécialisé en écologie forestière, Jean-Marie Barbier parachève son cursus par un diplôme d'ingénieur civil en Génie Rural des Eaux et Forêts. Il consacre ensuite l'ensemble de sa carrière aux organisations forestières privées. Directeur adjoint du CRPF Rhône Alpes (1975-1983), puis directeur du CRPF Limousin (1983-1995), Jean-Marie Barbier rejoint la Fédération des Forestiers Privés de France en 1995 comme directeur général adjoint et occupe, depuis le 1er janvier 2000, le poste de directeur général.

La certification FSC

Le Forest Stewardship Council (FSC, Conseil de Soutien de la Forêt) est un label environnemental, dont le but est d'assurer que la production de bois ou d'un produit à base de bois respecte les procédures garantissant la gestion durable des forêts. Dans la mesure où la gouvernance de ce label se fonde sur trois collèges qui à parts égales (en nombre de voix) traitent les trois questions de qualité et performances environnementales, sociales et économiques, le FSC est considéré comme un écolabel, mais aussi comme écosociolabel.

Les principes et critères du FSC de 1994 ont été révisée en 2014, puis validés en 2015 (ainsi qu'une liste d’indicateurs génériques), actualisant ainsi les standards nationaux1.

En mai 2017, un « Référentiel de gestion forestière durable adapté pour la France métropolitaine » a été publié. C'est le nouveau cadre de certification d'unités de gestion forestières, avec possibilité de certification de groupe.

A échelle mondiale, le FSC veut « Promouvoir la gestion responsable des forêts mondiales » ; c'est-à-dire une gestion écologiquement appropriée, socialement bénéfique et économiquement viable, permettant de répondre aux besoins des générations actuelles et futures. Il vise une gestion forestière écologiquement appropriée, garantissant que la récolte des produits ligneux et non ligneux maintient la biodiversité de la forêt, la productivité et la fonctionnalité des écosystèmes.

La gestion forestière socialement bénéfique aide les populations locales et la société dans son ensemble à jouir des avantages à long terme et motivent également les populations locales à préserver les ressources forestières et à adhérer à des plans de gestion à long terme.

La gestion forestière économiquement viable signifie que les opérations forestières sont structurées et gérées de manière à être suffisamment rentables, sans toutefois générer de profit financier au détriment de la ressource forestière,l'écosystème, ou des communautés affectées.

Le FSC s'est attaché à offrir aux acheteurs et au public le maximum de gages de crédibilité et encourage les entreprises et les collectivités à « concevoir et mettre en œuvre une politique d’achats bois responsable » notamment pour les bois tropicaux 3. Le WWF a prévu la mise en place (durant le premier trimestre 2015) d'un outil dénommé « baromètre bois »4, pour les collectivités publiques, sur le modèle du PAP505).

En France il s'est donné pour objectifs de :

développer la certification FSC des forêts françaises (Guyane y compris) ;
développer le marché français des produits forestiers certifiés FSC ;
lutter contre les utilisations frauduleuses ou abusives du label FSC ;
faire connaitre ce label aux professionnels, aux consommateurs et aux prescripteurs publics.
Certification PEFC
Le Programme de reconnaissance des certifications forestières est une certification forestière privée qui promeut la gestion durable des forêts.

PEFC est le premier système de certification forestière en termes de surfaces forestières certifiées et la première source de bois certifié au monde.

Lorsqu'un produit arbore le logo PEFC, cela garantit d'abord au consommateur que le bois qui le compose est issu d'une forêt gérée selon les meilleures règles adaptées aux situations locales. Ces règles permettent de réellement concilier les trois piliers du développement durable : environnement, économie, société.

La bonne gestion forestière n'a pas débuté avec PEFC. Le système s'inscrit dans la continuité de la longue histoire de la sylviculture européenne dont les premiers textes remontent en France à 1346.

Par définition, les forestiers ont vocation à conserver la forêt. Avec sa logique d'amélioration continue, la démarche PEFC les conduit à être encore plus attentifs à la préservation de la biodiversité notamment.

La certification, sinon rien ?
Même si elle se développe rapidement, la certification ne touche encore qu'une faible partie des surfaces forestières mondiales (moins de 15%, FSC et PEFC confondues). Mais un produit bois non certifié ne provient pas forcément d'une forêt mal gérée !

En France, 95% du bois est d'origine européenne et vous êtes donc presque sûr d'acheter du bois issu de forêts gérées durablement. La certification vous en apporte simplement une garantie supplémentaire.

Des chaînes de contrôle garantissent que les scieries et autres transformateurs ne commercialisent pas plus de bois marqué PEFC que ce que les forêts certifiées en ont produit. Ces chaînes de contrôle sont vérifiées tous les cinq ans par un organisme agréé indépendant.

Au final, le système PEFC repose sur un engagement volontaire. Mais sa cohérence et sa crédibilité sont assurées par un contrôle collectif. "Nous sommes les premiers intéressés à faire respecter les règles", confirme Gilles Guespéreau.

La concertation est une autre particularité de PEFC. A tous les niveaux (international, national et régional) les règles de PEFC ont été discutées et élaborées par trois collèges (producteurs, transformateurs, utilisateurs). Cela permet d'aboutir au meilleur compromis garantissant que les règles sont réalistes, applicables et donc efficaces.
Source : Bois.com
Chaîne de traçabilité

Bois certifié :
FSC International développe deux types de certifications :

- la certification de la gestion forestière
- et la certification de la chaîne de contrôle (ou chaîne de traçabilité).
Cette dernière est destinée à contrôler le bois provenant de forêts certifiées tout au long de la chaîne d'approvisionnement, de l’amont (l’unité de gestion de la forêt certifiée) jusqu’au client final en passant par toutes les étapes de la production et de la transformation et éventuellement du recyclage de déchets bois-papier. Ainsi, un produit fini ne peut disposer du logo FSC qu’à partir du moment où il a été contrôlé par un organisme de certification indépendant et accrédité par le FSC à toutes les étapes de la filière
Les dix principes du FSC

L'ensemble des dix principes et critères doivent être appliqués en forêt avant de pouvoir recevoir la certification FSC. Ils s'appliquent à tous les types de forêts et à toutes les activités incluses dans le champ d'application du certificat.

Les principes et critères sont définis au niveau international, et déclinés à l’échelle nationale en indicateurs applicables sur le terrain.

Principe 1 : Respect des lois. La gestion forestière doit se conformer à toutes les lois en vigueur ainsi qu'à tous les traités internationaux dont ce pays est signataire. Elle sera de même conforme aux autres principes du FSC.

Principe 2 : Droits des travailleurs et conditions de travail. L’organisation certifiée doit préserver ou accroître le bien-être social et économique des travailleurs.

Principe 3 : Droit des populations autochtones. Ce principe ne s’applique pas en France métropolitaine.

Principe 4 : Relations avec les communautés. Les opérations de gestion forestière doivent maintenir ou améliorer le bien-être social et économique, à long terme des communautés locales.

Principe 5 : Bénéfices générés par la forêt. Les opérations de gestion forestière doivent encourager l'utilisation efficace des multiples produits et services de la forêt pour en garantir la viabilité économique ainsi qu'une large variété de prestations environnementales et sociales.

Principe 6 : Valeurs et impacts environnementaux. La gestion forestière doit maintenir les services écosystémiques, la diversité biologique et les valeurs qui y sont associées (ressources hydriques, sols, paysage, espèces et habitats patrimoniaux, etc.)

Principe 7 : Planification de la gestion. Un document de gestion doit être rédigé, appliqué et mis à jour. Les objectifs à long terme de la gestion et les moyens d'y parvenir doivent y être clairement indiqués. L’élaboration et les révisions de ce document de gestion se fait en concertation avec les parties prenantes.

Principe 8 : Suivi et évaluation. Un suivi est conduit pour évaluer les pratiques de gestion : qualité et quantité des produits forestiers, maintien des valeurs de conservation (environnementale ou socio-culturelles).

Principe 9 : Hautes valeurs de conservation. L’organisation certifiée doit identifier, évaluer, préserver et suivre les hautes valeurs de conservation présentes dans son unité de gestion. Ces HVC peuvent concerner des espèces ou habitats patrimoniaux, des services écosystémiques critiques, des sites culturels, etc.
Pour plus d’informations sur les HVC consulter le site internet suivant : https://www.hcvnetwork.org/

Principe 10 : Mise en œuvre des activités de gestion. Les activités de gestion conduites par ou pour l'organisation dans l'unité de gestion respectent l’ensemble des principes et critères du FSC, et visent à atteindre les objectifs économiques, environnementaux et sociaux décrits dans le document de gestion.
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